La demeure des Plou'Koss
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 [INFOS] Notre histoire

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Noos Tra le penseur
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Noos Tra le penseur


Sexe : Masculin
Né(e) le : 06/04/1935
Age : 89
Métiers : Archéologue, Traducteur
Divinité : Sans croyance particulière
Alliance : Clan des Plou'Koss
Messages : 52

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MessageSujet: [INFOS] Notre histoire   [INFOS] Notre histoire EmptyLun 25 Jan - 20:52

[INFOS] Notre histoire Brodur10Notre histoire[INFOS] Notre histoire Brodur11

Préface :

Ce n’est pas une entreprise ordinaire que de traduire des parchemins vieux de plus de 600 ans. En effet, traduire ces parchemins, c’est rendre dans une autre langue les pensées et les paroles de Pioulko, l’auteur de la légende des Plou’Koss, mercenaires il y a de cela près de 632 ans déjà.

Voila qui donne à réfléchir. Plus de 600 plus tard, un homme, sage et vif voue le reste de sa vie avec quelques penseurs pour traduire quelques parchemins retrouvés lors de fouilles et ainsi vous compter l’histoire du clan Plou’Koss. Les traducteurs des parchemins se sont fait une obligation de traduire ces écritures le plus exactement possible. Hélas, ce ne fut pas chose aisée et par conséquent, certains mots, phrases ne sont pas totalement aussi proches de la signification première. Cependant, cela n’empêche pas vous autre lecteurs de comprendre le récit de Pioulko et par conséquent de comprendre l’avènement, la genèse du nouveau clan Plou’Koss, en l’an de grâce 640.

Si le clan Plou’Koss n’avait été qu’une simple légende jusqu’ici (…) Aujourd’hui, nous autres, humbles penseurs nous vous offrons la possibilité de devenir légendaire !

Chapitre 1 : Pioulko, le gamin du tavernier

Moi, Pioulko, fils de Cid’tron plus connu comme étant le tavernier le plus sobre d’Amakna , ai grandi et appris ce qu’est la vie et ce qu’elle offrait par procuration à travers les nombreux clients qui passaient leurs journées accoudés au comptoir de mon géniteur. Il fut un temps ou je gazouillais, je vomissais, je pleurnichais (…) mais en ce temps, j’étais déjà derrière le comptoir dans un berceau calé entre deux futs non loin des choppes, attendant que les clients furent servis pour pouvoir espérer un minimum d’attention.

La vie de mes parents n’avait jamais été simple. Etre tavernier était l’un des métiers ou si l’on ne se démenait pas pour se démarquer de la concurrence, on se retrouvait sans travaille très rapidement.

C’est pourquoi après seulement quelques années, lorsque j’ai commencé à servir à quelque chose (Mettre du liquide dans une choppe et rapporter comme un brave chienchien) Cid, mon brave père me mit au travail, cette fois non pas entre deux futs mais devant ceux-ci avec des piles de choppes n’attendant qu’à être remplis. Vous l’aurez bien compris dès que je fus en âge de travailler, on me converti en apprenti tavernier.

Les mois, les années passèrent et au fil du temps, je devins un petit gars bien plus cultivé que ceux de mon âge pouvaient l’être d’ordinaire. Il faut bien l’avouer, remplir des choppes, avec un peu d’entrainement on arrive vite à le faire les yeux fermés et les oreilles braquées sur des choses bien plus intéressantes. En général seulement les arrivants racontaient des nouvelles exploitables mais hélas seulement pendant très peu de temps. (Oui l’alcool une fois ingurgité semblait dissiper totalement leurs facultés à dire des choses potables quoi que certains disciples de la déesse Pandawa semblés s’opposer à cette généralité constatée.)

Chaque jour je repartais ainsi le soir sous mon toit, l’esprit emplit de connaissances toutes plus intéressantes les unes que les autres. L’ingurgitation de diverses nouvelles me donnait l’envie de transmettre ce savoir. Je l’avais décidé en ce temps, je deviendrai certainement professeur des jeunes disciples.

Chapitre 2 : L’étrange fermeture

C’était un soir de lune basse, oui c’est cela, je m’en souviens. Père et moi-même étions sur le point de fermer la taverne lorsqu’un homme à l’allure prestigieuse entra. Mon père se dirigea vers l’homme pour lui signaler la fermeture de la taverne lorsque sans attente, l’arrivant montra discrètement à Cid une dague qui reluisait tout en lui faisant comprendre qu’il était bien décidé à rester et qu’il le ferait cout que cout.

Mon père stoppa net puis après un instant d’hésitation, lui fit signe de prendre place dans un coin de la taverne très peu éclairé. Je me souviens, ce coin là était en général fréquenté par des personnes qui s’appétaient à négocier.

Nous nous remettions à notre ménage lorsqu’une femme, vêtu de vêtements campagnards entra et scruta la pièce dans sa totalité. Après un moment elle plongea son regard dans le mien et se mit à montrer les dents tout en mâchant son épi de blée. Effrayé je courus dans les jambes de mon père qui une fois la tête relevé m’envoya directement dans l’arrière salle lorsqu’il aperçut la femme à l’allure de chasseur de prime. Après s’être retourné pour être certain que j’étais bien derrière, mon père accompagna la femme près de l’homme qui était entré quelques minutes plus tôt.

Il y avait dans l’arrière salle une petite trappe qui donnait sur le comptoir de la taverne pour passer les repas chauds de l’arrière salle et même si j’étais effrayé par le regard glacial de cette étrangère j’avais envie de savoir ce qu’elle pouvait bien venir faire dans les parages. J’ouvris donc doucement la trappe et me mit à écouter la conversation des deux étrangers tant bien que mal. Hélas leur discrétion était telle que je ne compris que peu de choses. Pour la première fois j’allais repartir chez moi, sans avoir réussi à entendre et analysé. D’ordinaire mon oreille attentive me permettait d’entendre et de comprendre, cette fois je n’avais entendu que peu de choses et donc rien compris hormis que leur discussion devait très certainement être très secrète face à une telle discrétion.

Après quelques heures les deux étrangers prirent la direction de la sortie et mon père m’interpella afin que nous puissions prendre également le chemin de notre chez nous. Quel frustration ce soir là ! Je rentrais l’esprit songeur et insatisfait. Néanmoins, si la discussion des deux mystérieuses personnes n’était pas tombée au creux de mes oreilles ce fameux soir de lune, j’allais en comprendre le sens quelques jours plus tard.

Chapitre 3 : La proposition

Trois ou quatre jours s’étaient écoulés depuis ce fameux soir assez mouvementé et mystérieux (…) Pourtant, mon esprit était toujours aussi attiré, obnubilé par cette étrange femme ainsi que la conversation à laquelle elle avait participé sans craintes et sans stress face à un homme qui malgré son apparence soignée, ne semblait pas commode.

Chaque soir, alors que la fermeture de la taverne approchait, je ne pouvais m’empêcher de lever la tête vers la porte d’entrée tandis que j’en oubliais mes corvées de nettoyage. Allait-elle de nouveau entrer ? Voila la question qui me hantait jusqu’à ce que je reçoive un coup de balais sur le crâne. Les jours passèrent et je ne prêtais même plus attention aux discussions qui avaient lieu dans la taverne. Je remplissais mes choppes, les yeux fixés sur la porte d’entrée, en oubliant parfois les choppes et gaspillant ainsi ce précieux breuvage que père vendait par millier de litre chaque jours.

Le temps passa et à mon grand regret, les affaires tournaient de plus en plus mal. Je ne savais pas vraiment pourquoi jusqu’au jour ou je surpris mon père en pleine discussion avec cette homme mal fagoté. Mon oreille ne m’avait trompé ce jour là, je l’avais bien compris, la concurrence était dangereuse. Un tavernier qui vendait les même produits bien moins chers et qui pour plus, payait de belles Eca les soirs de fête afin de donner des spectacles déconseillés aux jeunes, raflait tout les accros de la boisson.

Je ne prêtai pas plus d’attention à cette discussion jusqu’à ce que j’entendu se glisser dans la conversation la description d’une personne ressemblant étrangement à cette femme qui me hantait. Je tandis l’oreille de nouveau en ayant le cœur qui palpitait par soucis d’en apprendre plus. J’allais peut-être savoir qui elle était. Pendant quelques minutes la discussion ne semblait rien donner jusqu’au moment ou le vieil homme annonça à mon père que la personne en question faisait du bon boulot, qu’elle était discrète, ne laissait pas de traces et que passer un contrat avec cette femme n’était pas si onéreux.

J’avais depuis mon jeune âge entendu parler de gens qui se faisaient payer pour réaliser diverses tâches en tout genre, mais je n’en avais jamais vu encore ou du moins avant l’autre soir, si c’était bien de la femme en question dont discutaient mon père et le vieil ivre.

Je me remis discrètement à mes taches lorsque je vis que mon père se leva pour retourner au comptoir. J’avais l’esprit songeur ce jour là. J’en avais appris plus concernant cette mystérieuse personne, mais je ne voyais pas en quoi les petites affaires de cette chasseuse de primes pouvaient aider mon père dans son malheur, du moins pour le moment. Je savais que cette femme passait des contrats, c’était certain, c’était donc une mercenaire. On racontait que les mercenaires rendaient des services sous forme de contrats, qu’ils faisaient tout et rien pour de l’argent et ainsi vivre au jour le jour sans se préoccuper du lendemain. Je trouvais l’idée intéressante et même très valorisante. Vivre grâce à de l’aide apporté à autrui. Cependant une question me frappa. Jusqu’ou étaient-ils près à aller ? Ca je ne le découvris que lorsque mon père passa un contrat avec l’un d’entre eux dans la plus grande discrétion, quelques semaines plus tard.

Chapitre 4 : Le contrat

Plus un bruit, le ménage était terminé, la taverne était fermée, Père m’annonça que je pouvais rentrer à la maison. Je lui tendis son vêtement qu’il repoussa de la main en m’annonçant qu’il me rejoindrait un peu plus tard car il avait deux ou trois babioles à régler avant de fermer totalement. Tout en me dirigeant vers ma monture j’entendis une fine conversation qui s’échappait de l’intérieur car j’avais omis d’enfoncer la porte convenablement. Etant certain que mon père était seul lorsque j’avais quitté le bâtiment je me rendis sur le bas de la porte discrètement afin d’observer. L’incompréhension pouvait se lire sur mon visage ce soir là, tellement j’étais surpris de voir mon père assis aux côtés de deux hommes vêtus du même accoutrement que la femme que je soupçonnais être mercenaire.

Je ne m’étais pas trompé, lors de notre première rencontre cette femme était belle et bien une mercenaire et ces deux hommes l’étaient eux aussi. Je ne pouvais plus reculer, mes oreilles étaient comme cloués à la porte, je devais écouter leur sujet de discussion.

Je ne compris que peu de choses mais hélas la plus affreuse arriva tout de même à mes oreilles. Mon père venait d’engager pour deux fois 5 000 Kamas soit un peu plus d’une recette mensuelle, deux mercenaires pour aller se débarrasser du concurrent tavernier, afin que son affaire reprenne du poil de la bête.

Choqué par cette nouvelle et pris de tétanie j’ai alors bousculé le sceau qui se trouvait à côté de la porte d’entrée alertant ainsi mon père et les deux mercenaires qui aussitôt dégainèrent leurs épées. Je partis en courant vers ma monture, je déposai mon pied sur l’étrier lorsque mon père me plaqua au sol et me secoua en hurlant « Que fais-tu ici ? Qu’as-tu entendu ? » Pris de panique et brusqué je m’efforcer de crier « Rien, rien (…) ABSOLUMENT RIEN ! »

Après quelques secondes de secouage intense l’un des mercenaire déposa sa main sur l’épaule de mon père et lui dicta d’arrêter en lui expliquant que je n’étais qu’un gosse et que je comprenais certainement rien de ce qu’il se passait. Il avait tout faux, j’avais tout compris, j’étais très intelligent et je faisais mine de n’avoir rien compris pour que la brutalité cesse. Mon père me lâcha et m’ordonna de rentrer sur le champ. Une fois à la maison c’était fait, je le savais, ce soir, demain ou dans quelques jours une missive ferait le tour des contrés annonçant la mort d’un tavernier qui venait de commencer une brillante carrière et je devrais vivre avec ce sentiment toute ma vie.

Les jours passèrent et je ne supportais plus de voir mon père se venter que son commerce prospérait tandis que je savais qu’il avait utilisé une bourse pour faire éliminer un homme honnête à des fins personnelles.

Après cela, c’était décidé (…) Je ne voulais plus être professeur des disciples du moins pas dans la culture générale. J’allais devenir l’emblème d’un clan, le chef d’une troupe de mercenaire mais qui serait différente. L’assassinat de gens honnêtes serait proscris et la vocation du clan viserait une aide sociale du peuple.

Chapitre 5 : Le départ incendiaire

Un soir ou mon père fut exténué par la journée de travail remplit du à l’affluence des clients, je pris le soin de déposer une lettre sur la paillasse d’entrée indiquant les raisons de mon départ mais ne comportant, ni ma destination ni mes objectifs et mes désires. Une fois déposé au sol, je regardais une dernière fois ma maison, mon chez moi et franchis le seuil de la porte, bâton en main et baluchon sur l’épaule tout en refermant la porte délicatement veillant ainsi à ne réveiller personne et ainsi pouvoir assurer mon départ.

Une fois ma monture équipé de mes effets et de mes vivres, je posai mon regard une dernière fois mon regard sur ma demeure en hochant la tête en repensant à ce que Cid avait fait. Je talonnai ma monture et fit route vers la taverne de mon père.

La route me laissa le temps d’emplir ma tête de bons souvenirs mais hélas ne m’enleva pas de l’esprit qu’un homme honnête était mort pour de l’argent. Arrivé à la taverne je pris le nécessaire et je mis le feu à la taverne laissant un parchemin sur lequel figuré un message et une signature.

« Vous êtes aisé grâce à l’argent qui à offert la mort (…)
Vous vivrez sous la pauvreté grâce à un acte de justice (…)


Le chef du clan Plou’Koss »

Chapitre 6 : La fondation des Plou’Koss

J’ai galopé pendant sept jours et six nuit jusqu’à épuisement de ma monture. Nous sommes arrivés dans un coin fort tranquille et exclus de passages fréquents. Après m’être reposé quelques jours et avoir vogué dans le calme, j’ai permis à mon esprit de retrouver sa sérénité et tout son efficacité et je me suis mis à écrire le fondement même du clan que j’avais en tête de mettre sur pied.

Il était trop tard pour revenir en arrière, un premier acte avait été déclenché et signé par le chef des Plou’Koss. Oui le nom fait rire vous ne croyez pas ? Lorsque j’ai mis le feu, je n’avais guère le temps de m’attarder et je n’avais pas encore songé à un nom de clan. La première chose qui me vint alors à l’esprit fut le nom de mon chapeau de paille que je portais tombant dans le dos, retenu grâce à une lanière de lin qui passait autour de mon cou. Bref il fallait donc honorer cet acte et ainsi lui attribuer une signification. Je ne me pris pas vraiment la tête entre quatre bras afin d’élaborer les dessins de mon clan. Je savais ce que je voulais et il allait être facile de le mettre en place. Le plus difficile allait être le recrutement. Trouver des gens prêt à s’engager dans une vie de mercenaire et qui plus est à un suivis de quelques règles strictes, cela n’allait être guère facile.

Il me fallut que quelques semaines pour élaborer, écrire et mettre en pratique mon code de mercenariat et il ne me fallut que quelques mois pour trouver des volontaires pour se lancer dans des activités. Ne vous y prenez pas ! La clientèle ne tomba pas du ciel il nous fallut démarcher pendant de longues périodes afin de nous faire connaître et que la populace sache que nous étions là, ici et nulle part, à la fois accessible et introuvable, discrets (…)

Une fois que les affaires commencèrent à prendre de l’ampleur notre nom se mit à résonner dans les contrés. Nous étions au service des gens, contre salaire bien entendu, il fallait bien vivre. Mais nous avions un code d’honneur. C’était bien rare d’après les « on dit » des habitants des villages. Nous faire une réputation n’était pas facile car nous avions la réputation d’être des chasseurs de primes aux vues des mercenaires qui rodaient depuis déjà bon nombre de temps et qui eux tuaient pour de l’argent des hommes honnêtes. Oui ils étaient sans scrupules.

La notoriété du clan grimpait et moi je devenais un chef modéré et sage. Notre troupe grandit comptant parmi elle de brave mercenaire comme la belle Cianel par exemple ou encore Dukan ce bon vieux grincheux.

Seulement avec le temps les choses changèrent (…)

Chapitre 7 : La faute

Moi Pioulko, j’ai conduis ma troupe de valeureux mercenaire vers une gloire certaine ! Nos activités nous permettaient de nourrir nos familles, de vivre comme nous le souhaitions et même de prendre retraite pour certains. Quelque uns d’entre nous, s’étaient même installés dans les villes et avaient monté leur sous réseau de mercenaire. Le clan Plou’Koss, c’était un nom qui par la volonté d’une personne avait réuni des hommes et des femmes de croyances et de milieux différents dans un seul et unique but, le gain d’argent par de l’aide social et ce, par le biais de contrats confidentiels passés dans des coins d’ombres d’hommes à hommes dans la plus grande discétion.

Être chef, ce n’était pas tout les jours une partie de plaisir et durant quelques années, je n’ai eu que peut de litiges à superviser et à sanctionner. Mais hélas cela ne pouvait durer éternellement. Et la seule et unique fois ou un litige important est survenu, celui-ci par ma faute à entrainé l’ensemble du clan vers une chute infernal conduisant beaucoup de Plou’Koss à la mort.

Je ne reviendrai pas sur ma faute car je souhaite que mes descendants s’il y a, prennent le temps de tout examiner dans le calme et la bonne parole afin d’éviter de commettre une erreur qui pourrait conduire un clan, une famille à une perte certaine.

Chapitre 8 : Le retour du clan

Vous avez pu comprendre grâce à quelques parchemins traduit la fondation, le sens même du clan Plou’Koss. Hélas, nous n’avons pas en notre possession d’autres parchemins afin de connaître la suite de l’histoire. Mais pourquoi connaître celle-ci ? Après tout, ce qu’il faut retenir de toute cette légendaire histoire et de son fabuleux auteur, c’est qu’il faut relancer cette famille ! Lancer un appel au ralliement et nous unir afin de former le nouveau clan Plou’Koss.

C’est avec joie que nous autres penseurs nous vous avons fait connaître le jeune Pioulko et son histoire. Ne vous contentez plus d’une simple histoire, devenez acteur et prenez place au sein de notre troupe de mercenaire. Le clan Plou’Koss renait, soyez en membre et partez à l’aventure, découvrez la vie qu’offre le mercenariat. Engagez-vous ! Les Kamas n’attendent que vous !

Nous avons pris soin d’expliquer les principes de notre clan un peu partout dans la demeure. Prenez le temps de les lires, de les comprendre et puis signez.

Une fois apprenti, une nouvelle vie commence sous les ordres d’un maitre mercenaire qui se chargera de tout vous apprendre sur le mercenariat.

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